Restreindre mes achats vestimentaires: 2 ans après

Hello tout le monde ! Vous ne vous attendiez pas à un nouvel article cette semaine, n’est-ce-pas ? Les surprises de la vie: c’est quand on exprime notre besoin de prendre du recul que finalement l’inspiration nous revient.

Cette semaine, une amie m’a demandé où en était mon dressing « minimaliste », bonne question ! L’année dernière, je vous expliquais que je m’étais donné le défi de n’acheter maximum qu’un vêtement par mois. Je n’avais pas réussi à cette époque, mais j’étais heureuse de reprendre le contrôle sur mes pulsions d’achat frénétiques. Pratiquement 1 an plus tard, j’ai envie de refaire le point sur les pièces qui sont entrées dans mon placard.

L’année dernière, j’avais été assidue: je notais mois après mois chacune de mes dépenses vestimentaires. Cette année, je dois l’avouer, après février, j’ai complètement oublié de noter mes achats. Pour écrire cet article, j’ai donc fouillé dans mes placards pour sortir les pièces nouvelles.

C’est pourquoi, comparé à l’année dernière, je n’ai pas en tête le prix de chacune des pièces que j’ai acheté. Dans la liste ci-dessous vous trouverez si c’est un produit de 2nde main, si on me l’a offert, et le budget approximatif.

A partir de cette liste, nous pourrons voir s’il y a du changement par rapport à l’année dernière !

Allons-y gaiement :

LISTE SEPT ’18 – JUIN ’19

  • Des sous-vêtements (culottes + chaussettes)
  • 1 paire de boots & Other Stories (2nde main + cadeau)
  • 1 legging H&M (2nde main) (5€)
  • 1 brassière + 1 legging de sport Oysho (2nde main) (<30€)
  • 1 chemise Monoprix (neuf) (9€)
  • 1 chemise Cacharel (2nde main + cadeau)
  • 1 chemise en soie Sessun (2nde main) (20€)
  • 1 tenue de sport complète (Prototypes qui m’ont été donné)
  • 2 paires de baskets de sport (Prototypes qui m’ont été donné)
  • 1 pantalon Galerie Lafayette (neuf + cadeau)
  • 1 paire de boucle d’oreille Maty (neuf + cadeau)


Total = plus de 11 pièces sont rentrées dans mon placard (sans compte les sous vêtements)

Je ne suis toujours pas à 12 pièces maximum mais comparé à l’année dernière où j’avais comptabilisé 24 pièces, nous pouvons voir que l’amélioration est radicale ! Comme je vous l’avais dit dans mon article l’année dernière, je ne pense pas à ce chiffre de 12 pièces par an comme un objectif à atteindre à tout pris. Je le vois comme une direction, une manière de m’indiquer le chemin et surtout de me rappeler que je n’ai pas besoin de tous les produits qui me font de l’oeil.


2nde main VS. neuf

Nous pouvons remarquer que sur 11 pièces, 3 sont neuves, 5 sont de secondes mains. Concernant les prototypes, je ne sais pas dans quoi les classer puisqu’ils ne font pas partie du circuit d’achat traditionnel. Si quelqu’un se pose la question: un membre de ma famille travaille dans une marque de sport, c’est pour cette raison que je les ai récupéré au moment où ils allaient s’en débarrasser. Les baskets sont un peu petites pour moi malgré plusieurs balades avec, il n’est donc pas exclu que je les donne dans les mois à venir.

Même si j’ai quand même des pièces neuves issues de la fast fashion, je reste très contente de ce bilan où la seconde main est en majorité comparé à l’année dernière où c’était le neuf qui était en haut du palmarès.


Les bons achats

Je suis terriblement heureuse de mes boucles d’oreille 😅. Je me suis percé les lobes d’oreille pour la première fois de ma vie en décembre dernier, et ma famille m’a offert les boucles d’oreille en or pour que je puisse changer les prothèses en titane qui, je l’avoue, ne me plaisaient pas vraiment. Si vous avez des boucles d’oreilles en toc dont vous avez envie de me débarrasser, pensez à moi, haha ! Je ne pourrais en mettre qu’à partir de décembre prochain car je cicatrise très, très, très lentement.

Sinon, la chemise Cacharel vintage est sûrement LE coup de coeur de l’année. Je l’ai vu dans un dépot vente et j’ai su que je l’aimais d’un amour fou. Son motif me faisait frétiller de joie, il respirait l’été et son coton était d’une grande qualité.

J’avais hésité à acquérir la chemise en soie mais il est vrai qu’avec cette canicule, je suis heureuse d’avoir un haut aussi léger. C’est comme une seconde peau, tellement je ne la sens pas quand je la porte.

La chemise Monoprix… C’était un coup de tête. Complètement. Une fin de soldes où j’allais acheter un magazine dans le magasin. Je la vois sur un portant. Comme pour la chemise Cacharel, j’ai ressenti qu’elle et moi on ferait un long chemin ensemble. L’épaisseur, le motif, tout me correspondait. Je sais qu’elle ne m’est absolument pas nécessaire et qu’elle participe au système inhumain de la production de vêtement. J’ai craqué, mais bon. J’essaye de m’améliorer et je ne suis clairement pas parfaite.

Les erreurs

Comme je le disais plus haut, les prototypes que j’ai récupéré ne me fittent pas complètement et je n’ai pas l’occasion de porter certaines pièces de la tenue. Je prendrais sûrement une décision à ce propos au cours de l’année pour trouver quelqu’un à qui ces éléments iront mieux.

En lisant la liste on doit se demander pourquoi j’ai une tenue de sport Oysho + la tenue de sport que j’ai récupéré: la réponse est simple. J’ai acheté la tenue Oysho sur Vinted sans savoir que quelques mois plus tard j’aurai l’occasion d’en avoir une. Etant maintenant en freelance, je mets énormément mes leggings car plus confortable. Ce n’est finalement pas une si mauvaise chose que les choses se soient goupillées de la sorte.

Sinon, je ne regrette rien.



J’espère que cet article d’update vous aura plu. Je vous encourage fortement à faire ce genre de liste une fois par an ne serait-ce que pour se rendre compte du budget que vous allouez aux vêtements. Il arrive souvent que ce soit une date que nous n’ayons pas envie d’affronter et que nous fassions l’autruche à ce propos. Gérer son argent commence par ça: avoir conscience de ses dépenses pour pouvoir choisir (donc reprendre le contrôle) comment nous souhaitons l’utiliser. Dans mon cas, c’est désagréable mais nécessaire.

Je vous souhaite à tous un très bon dimanche.

A très vite !

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2019, l’année de la libération

C’était la promesse que je m’étais faite en janvier dernier. Je ne savais pas exactement ce que j’entendais par « libération » mais c’est le mot qui s’était imposé à moi, alors je l’avais accepté comme tel.

Aujourd’hui, ce n’est pas un article de conseil. Ce blog est là pour témoigner de mon évolution dans ce grand chamboulement que je vis depuis plus d’un an. J’avais besoin d’écrire, de me débarrasser de mes sentiments.

Here we go.

La frustration d’être lente

Lâcher prise est un sujet difficile pour moi: comment lâcher prise sans avoir la sensation d’être irresponsable ? Comment ne pas mettre tout son être dans chaque action pour éviter que ça dérape ? Or, si les choses doivent déraper, elles déraperont quoi qu’il arrive.

Durant toute ma vie, une chose revient régulièrement, et c’est sûrement quelque chose qui m’embête le plus : je mets plus de temps que les autres à faire les choses et cela depuis toujours. Je ne parle pas de productivité, et de vitesse d’exécution, je parle de réussir à atteindre des palier symboliques de la vie.

Pétrie de peur, j’ai besoin de comprendre les tenants et les aboutissants pour me lancer et quand je ne ressens pas cette maîtrise, j’avance à un rythme particulièrement lent pour m’assurer de ne pas chuter.

Quel que soit le sujet, les personnes qui m’entourent avancent plus vite et je suis très très loin derrière marchant avec précaution.

Cette particularité a des avantages, bien sûr puisque j’apprends des erreurs des autres, ce qui n’est pas négligeable mais parfois, la frustration prend le dessus. En ce moment, c’est le cas. J’aimerai être différente, réussir à foncer tête baissée dans la mêlée et apprendre sur le moment, en ressortir plus forte.

Que garder, que jeter ?

Cette année, à l’image de l’année précédente me semble incroyablement importante. J’en apprends plus sur moi que toutes ces dernières années assemblées. Ce qu’il faut comprendre c’est que la découverte de soi n’est pas une partie de plaisir. C’est être constamment inconfortable car la remise en question est permanente. Ca pique de voir ses défauts, ça pique de regarder là où on en a pas envie. C’est difficile.

L’année de la libération, sonne pour moi comme une émancipation et une page qui se tourne. Dire adieu à certains comportements, dire adieu à certains doutes, certains à priori et surtout à certains mécanismes de défense désuets.

J’en suis rendue à une étape difficile. Une étape où je doute. Je n’arrive pas à entendre mon instinct, je n’arrive pas à savoir ce que je dois faire. Ma créativité m’est d’une grande aide dans ce genre de moment mais elle m’apporte aussi des milliards d’idées de contournements qui, au fond, ne m’aident pas.

Si je devais utiliser une image, ce serait comme si nous étions tous composé de pleins de cailloux avec des formes différentes. Chaque cailloux est un élément qui fait de nous la personne que nous sommes maintenant. La plupart du temps, on avance comme on peut avec tous ces cailloux mais il arrive un moment dans notre vie où on a envie de faire le ménage. On a plus ni l’envie ni la force de trimbaler avec nous tous ces cailloux. Le problème est le même que pour les participants dans l’émission de Marie Kondo: comment savoir si je dois lui dire au revoir ? Ce cailloux a été utile, a été un réconfort, un phare dans la nuit.

Qui suis-je sans ces éléments pour me définir ?

Vous vous retrouvez face à un grand panneau avec écris « JE NE SAIS PAS ».

C’est pour cette raison que c’est si inconfortable de faire sa propre rencontre et de prendre la décision de faire le ménage dans sa vie. On se sent impuissant face à cette indécision. Si vous avez déjà été chez le psy, j’imagine que ce « Je ne sais pas » épuisant résonne en vous.


Aller là où je le souhaite

Je vais vous parler de ce qui m’habite depuis des années. J’ai toujours honte de ne pas avoir encore réussi à accomplir cet objectif.

Cela fait des années que je préviens mes amis que je souhaite quitter Paris dès que j’en aurai la possibilité. Il y a plusieurs années, j’avais postulé à des emplois à Bordeaux dans l’espoir de pouvoir me rapprocher d’une région qui m’est chère. Cela me semblait on ne peut plus classique: j’allais trouver un travail qui me permettrait de trouver un logement sans trop d’encombre. Cela ne s’est malheureusement pas fait.

J’ai toujours espoir de déménager mais n’ayant jamais été dans le système classique du logement, je n’ai pas aucune quittance de loyer à montrer, et maintenant je n’ai même plus de CDI pour rassurer d’autant plus que mon activité est à son tout début. Je me sens dans une impasse à ce propos, la peur de ne jamais réussir à atteindre mon but premier. Qu’importe le nombre de visualisation que je fais, je n’y arrive pas.

Bien sûr que je n’y arrive pas : je ne fais rien pour.

Je pars perdante: je ne remplis aucune case pour trouver un logement, et mon activité ne gagne pas encore assez pour m’assurer des revenus acceptables alors j’attends que l’activité grandisse, ce qui me semble être la chose la plus logique vue la situation.

Parfois je me demande: est-ce le bon moyen ?

Milieu de l’année a sonné

Je crois toujours a tort que Septembre est le milieu de l’année. C’est juin qui m’indique j’ai déjà consommé la majorité de l’année. J’espère être à la hauteur de la deuxième partie de l’année, à pouvoir me surpasser en laissant de côté les peurs qui me freinent.

Je ne sais pas où je lisais ça, mais quelqu’un disait « Quand je ressens de la jalousie ou l’impression de ne pas être Assez, je me demande si j’échangerais ma vie contre la sienne » et si la réponse est Non, il savait qu’il était sur le bon chemin.

De mon côté, c’est pareil. Est-ce que j’échangerais ma vie contre celle de quelqu’un d’autre à l’instant T ? Non. J’ai la chance de pouvoir lancer mon activité sereinement, sans avoir de couteau sous la gorge grâce à mes économies, l’Etat et ma famille. Je rencontre des personnes incroyables grâce à mes projets de freelance, et je ne savais même pas qu’il était possible d’entretenir des relations aussi épanouissantes avec des clients. Je me sens utile et j’ai trouvé une véritable place de partenaire à leurs côtés.



Pour conclure, je me souhaite pour ces 6 prochains mois de garder le cap. De continuer encore et encore à cultiver cette patience qui me fait défaut. D’arroser toutes les graines que je plante régulièrement. Ne pas baisser les bras. Garder en tête mon objectif premier, celui de trouver un équilibre entre épanouissement personnel et professionnel. Rester positive et continuer à count my blessings. Faire de nouvelles choses même si celles que j’ai faites avant n’ont pas encore payées. Parfois le temps doit aussi faire son travail. Bref, aller de l’avant sans baisser les bras.

Ne pas atteindre ses objectifs: comment vivre la déception

C’est un sujet que j’évoque régulièrement dans La lettre du Weekend: je me mets régulièrement des objectifs chiffrés sur divers sujets mais je ne les atteint pas toujours. Pour être honnête, je ne les atteint même plutôt que rarement. Lorsque je les définis, je mets un peu au pif là où j’aimerais être à tel moment. Ces objectifs sont-ils réalistes ? Je n’en sais rien, et je découvre avec le temps que je mets potentiellement la barre trop haut, trop vite. Je suis donc confrontée à cette situation: cette peur qui nous fait frémir, je nomme l’échec.

Bon. L’échec est un mot qui est trop dramatique pour coller à ma situation mais c’est le sentiment qui peut poindre lorsque nous n’arrivons pas là où nous l’aurions souhaité. Il m’arrive de me remettre complètement en question en me demandant si je fais les choses mal, si finalement je n’ai tout simplement pas les capacités, et toutes les phrases traditionnelles dans ce genre de moment. Vous connaissez l’histoire !

Or, je pense que là réside un élément fondamental : on peut décider de baisser les bras ou on peut décider de remonter ses manches et redonner un coup de boost pour s’améliorer.

Et… Rebelote, on atteint toujours pas l’objectif et la frustration grandit. Idem, est-ce- que je baisse les bras ? Est-ce que je mets en place de nouvelles méthodes ?

La force mentale rentre en jeu. Le terme « être challengé » prend tout son sens. Bien sûr, il faut savoir lâcher prise lorsqu’on est dans une impasse depuis longtemps et qu’on ne voulait pas le voir. Néanmoins, sans ces obstacles, ces déceptions, ces remises en question: comment pourrais-je grandir ?

Alors voilà, aujourd’hui, un article pour me rappeler et vous rappeler ce que l’on peut faire lorsqu’on atteint pas nos objectifs et que l’on se retrouve bien maussade face à cela.

En parler avec quelqu’un de confiance

La première personne à qui j’en parle, c’est mon copain. Tous les mois c’est la même histoire, j’arrive la patte traînante, l’œil humide « je n’ai pas encore atteint mon objectif 😦 » et je lui fais part de toutes les choses qui m’ont déçues ce mois-ci. En général, cela tourne autour de pistes pour lesquelles j’avais un enthousiasme débordant et que ne se sont pas concrétisées. C’est pourtant le jeu, mais à chaque fois je le vis comme si c’était la première déception. « J’aurai tellement aimé ! ». C’est la vie, ma pauvre Lucette. Parfois on gagne, parfois non.

Mon copain a toute ma confiance et a le recul nécessaire pour voir tous mes efforts ainsi que me rappeler tout ce que je mets en place en parallèle. Il a les mots justes pour me remonter le moral dans ces moments de doute. Grâce à sa présence, je reprends confiance.

Dans le jeu pour lequel j’ai signé, il faut savoir se relever, encore et encore.

Si vous vous trouvez dans cette situation, je vous encourage à trouver quelqu’un auprès duquel vous n’avez pas honte d’avouer votre « échec » ou tout du moins votre déception. Quelqu’un dont vous savez la sincérité, la bienveillance et qui saura vous dire les mots qu’il faut.

Nous avons envie que les gens voient nos réussites mais moins nos faiblesses, c’est normal, donc certaines personnes peuvent avoir tendance à tout garder pour elles. De mon côté, il me semble plus sain d’extérioriser mon ressenti. Dans le cas contraire, j’aurai la sensation de pourrir de l’intérieur. Besoin d’une bonne purge régulière.

Voir le chemin accompli

Voir le positif, on y revient encore ! En écrivant ces lignes, je me demande si au lieu de m’acharner sur mon objectif non atteint en fin de mois, si je ne devrais pas prendre le temps de noter tous les signes positifs que j’ai pu observer ainsi que toutes les choses mises en place pendant le mois écoulé.

La tendance (humaine ?) est de voir là où ça a cloché. Cela nous permet bien entendu de prendre note et donc de nous améliorer mais cela peut avoir comme effet de gommer toutes les choses qui envoient un bon signal.

Il y a pleins de sujets qui me rendent fière. Pourquoi ne sont-ce pas ceux-là qui me viennent en tête ? Parce que c’est difficile de se satisfaire de quelque chose, quand une autre chose, qui nous semble d’autant plus importante, n’est pas accompli. Pour m’expliciter, la réflexion qui me viendrait en tête serait la suivante « Ah. Bah, bravo. Tu te contentes de ça ? Fais gaffe à pas devenir une flemmarde. »

Je pense que nous pouvons facilement admettre que cette pensée n’est pas le terreau d’un avancement serein vers ses objectifs. Alors, peut-être, devrais-je apprendre à admettre le négatif mais dans le même temps admettre le positif, sans que l’un vienne polluer l’autre.

Se questionner régulièrement

Courir après un objectif et oublier de se questionner régulièrement, c’est se mettre à l’avant de la triste situation où on se rend compte une fois le trésor atteint, que finalement… on s’en fout.

La remise en question me semble pouvoir être de plusieurs ordres: d’abord se demander si nous sommes toujours en accord avec notre aspiration de départ. Est-ce qu’on a toujours envie d’y arriver ? Est-ce que cela a encore du sens ? Et dans le second temps, une fois que la réponse à ce questionnement est positive, nous pouvons nous demander s’il n’y a pas d’autres méthodes que nous n’avons pas testé qui peuvent nous aider à atteindre ledit objectif. Que peut-on mettre en place de différent ? Rien ne dit que notre nouvelle tentative sera couronnée de succès, mais au moins, nous aurons appris en chemin.

Est-ce que vous aussi vous avez été mis face à ce challenge ? Ne pas réussir à atteindre votre objectif dans le temps que vous vous étiez fixé initialement ? Qu’avez-vous fait pour y arriver ? ou comment avez-vous su que c’était le moment d’arrêter dans cette voie ?

J’espère que ces mots trouveront écho en vous, et que cela pourra d’une manière ou d’une autre vous aider à mettre un peu de baume au coeur face à cette frustration.