Livres lus et appréciés en 2020

Ai-je vraiment besoin de faire une introduction ? Je viens de faire le tour de ma bibliothèque pour voir quels livres avaient laissés une trace pendant l’année. Il y a en a probablement d’autres que j’ai dû rendre à leurs propriétaires entre temps mais cette liste bancale vous intéressera peut-être malgré tout 🙂

Vous ne trouverez pas de résumé de l’histoire car la surprise, c’est bien aussi !

« Voyage d’une Parisienne à Lhassa » – Alexandra David-Néel

Je l’ai aimé pour… les horizons nouveaux, pour sa liberté, son observation du monde qui l’entoure, sa persévérance

(à noter : livre publié en 1927, certains passages peuvent donc hérisser le poil du lecteur de notre époque)

« Le ruban » – Ogawa Ito

Je l’ai aimé pour… sa délicatesse, sa poésie, sa douceur

« Yoga, une histoire-monde » – Marie Kock

Je l’ai aimé pour… son esprit critique, son envie d’aller plus loin que la surface

« Instantanés d’Ambre » – Yoko Ogawa

Je l’ai aimé pour… son mystère, sa folie, sa sensibilité, sa montée en tension, le piège qui se referme, je n’ai pas d’équivalent à ce livre dans ma bibliothèque

« Au bonheur des filles » – Elizabeth Gilbert

Je l’ai aimé pour… son rythme effréné, son irrévérence, sa liberté

« Souvenirs de l’avenir » – Siri Hustvedt

Je l’ai aimé pour… sa plume acérée, sa liberté (oui, je me répète et c’est normal)

(à noter: j’ai achété « Souvenirs de l’avenir » et « Au bonheur des filles » au même moment lors d’un passage en bouquinerie. Je ne savais pas de quoi parlaient ces histoires: mon achat était basé sur les couvertures que j’appréciais. Le hasard fait que ces deux livres se font incroyablement échos sur deux époques différentes à New York)

« Chez soi » – Mona Chollet

Je l’ai aimé pour… l’ôde à l’espace personnel, explorer les dynamiques du foyer

« Une apparition » – Sophie Fontanel

Je l’ai aimé pour… son exploration, sa vulnérabilité, son envie d’aller plus loin que les carcans

« Station Eleven » – Emily St. John Mandel

Je l’ai aimé pour… l’histoire qui se déroule à Toronto et qui m’a permis de vivre l’histoire plus intensément*, la gestion parfaite des différentes histoires qui se déroulent en parallèle, sa manière d’amener la beauté de la littérature et du théâtre dans les confins d’un monde en ruine

(à noter : si votre anxiété est décuplée à cause du covid et de la pandémie mondiale en cours, je vous en supplie, ne faites pas comme moi : épargnez-vous !!! A lire uniquement lorsque le monde aura retrouvé un semblant de stabilité)

*J’ai eu l’opportunité de faire un semestre dans une école à Toronto pendant mes études

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